Emmanuelle Fantin, enseignante-chercheuse au CELSA et chercheuse au GRIPIC, publie « Nostalgies et remédiations du passé en politique, ou le danger des abus de la mémoire » en collaboration avec Katharina Niemeyer (UQÀM) et Corine Dufresne-Deslières (UQÀM) dans le n°44 de la revue Questions de communication
Dans cette note de recherche, elles analysent la manière dont le passé est soumis au risque d’une fictionnalisation mue par un désir d’idéalisation de l’histoire sur la scène politique, à travers le cas de la vidéo d’annonce de candidature à la présidentielle d’Éric Zemmour.
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