« Avant de décider de faire la formation du Celsa, j’avais besoin de prouver ma légitimité au poste que j’occupais car je n’avais pas de formation en communication. La formation m’a permis d’en acquérir tous les fondamentaux.
Faire un Master à temps partiel en formation continue demande du courage. On cumule une année de formation riche et intense, avec la vie professionnelle et personnelle. Cet investissement ne peut se faire que si l’école et le diplôme sont reconnus.
C’est pourquoi j’ai choisi le Celsa. On s’aperçoit très vite que la réputation de l’école n’est plus à faire, qu’il y a une culture Celsa. Lorsque vous rencontrez des « communicants », ils ont souvent fait le Celsa aussi, ce qui vous fait entrer rapidement dans le réseau des anciens.
J’ai pris beaucoup de plaisir à me dépasser, à puiser dans mes réserves, à chercher des ressources inconnues jusqu’alors. Le travail du mémoire a été une révélation sur mes capacités, mais aussi un vrai challenge pour rendre puis soutenir dans les temps impartis.
Beaucoup pensent que rentrer au Celsa est difficile. Je pense que ce qui est le plus difficile c’est d’en sortir.
On ressent un réel manque, le manque des personnes qui ont fait la formation comme vous et qui deviennent des amis, le manque de ces jours de formation qui reviennent régulièrement nous permettant de sortir du quotidien pour apprendre des autres. »